Injection de toxine botulique | Médecine esthétique - Dr Eric ALLAMAGNY, ORL, Chirurgien cervico-facial, Médecine esthétique, Nancy (54) Metz (57) Lorraine France

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MÉDECINE ESTHÉTIQUE
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Injection de toxine botulique


La toxine botulinique de type A, myorelaxant d’action périphérique, agit en bloquant les impulsions nerveuses dirigées vers tous les muscles dans lesquels il a été injecté. Ceci empêche les muscles de se contracter en entraînant une paralysie temporaire et réversible.

La toxine botulique est indiquée en esthétique dans la correction temporaire des rides verticales intersourcilières modérées à sévères observées lors du froncement des sourcils chez l’adulte de moins de 65 ans, lorsque la sévérité de ces rides entraîne un retentissement psychologique important chez le patient.

Elle peut être également utilisée dans la correction des rides frontales horizontales et des rides de la "patte d’oie", des plis d’amertume, dans les plis du décolleté.

Une amélioration des rides s’observe en général en une semaine après le traitement, le pic d’effet étant observé 5 à 6 semaines après l’injection. L’effet du traitement a été démontré jusqu’à six mois après injection (variable selon les patients). Elle est également utilisé dans le syndrome de FREY (écoulement et hypersudation dans la région parotidienne ou sous-maxillaire après interventions chirurgicales), dans l’hypersudation axillaire ou palmaire. La toxine ne modifie pas des asymétries préexistantes du visage en particulier au niveau des sourcils.

Elle ne doit pas être utilisée

  • si vous êtes allergique à la toxine botulinique de type A ou à l’un des autres composants contenus dans le produit (albumine humaine, chlorure de sodium)
  • si vous souffrez de faiblesse musculaire grave ou du syndrome de Lambert-Eaton (maladies chroniques affectant les muscles)

Vous devez informer votre médecin si vous êtes dans une des situations suivantes

  • vous êtes enceinte ou vous souhaitez l’être ou vous allaitez
  • vous avez eu des problèmes dans le passé lors de précédentes injections de toxine botulinique
  • en cas d’échec au traitement après une première séance, c’est à dire après l’absence un mois après l’injection, d’amélioration significative par rapport au bilan initial
  • vous êtes atteint de sclérose latérale amyotrophique ou présentez un trouble neuromusculaire périphérique
  • vous avez une inflammation au niveau des muscles ou l’injection doit être effectuée
  • les muscles dans lesquels votre médecin va faire l’injection sont faibles ou atrophiés
  • vous prenez des antibiotiques (en particulier des aminosides car l’injection est déconseillée) ou des myorelaxants
  • vous prenez d’autres médicaments même s’ils ne vous ont pas été prescrits par un médecin
  • vous avez été opéré ou blessé au niveau de la tête, du cou ou de la poitrine
  • vous allez bientôt être opéré


Produit d'injection : la toxine botulique

Toxine botulinique de type A, myorelaxant d’action périphérique, qui agit en bloquant les impulsions nerveuses dirigées vers tous les muscles dans lesquels il a été injecté. Ceci empêche les muscles de se contracter en entrainant une paralysie temporaire et réversible.
La toxine botulique est indiquée dans la correction temporaire des rides verticales intersourcilières modérées à sévères observées lors du froncement des sourcils.
Il peut être également utilisé dans la correction des rides frontales horizontales et des rides de la "patte d’oie", des plis d’amertume, dans les plis du décolleté. Une amélioration des rides s’observe en général en une semaine après le traitement, le pic d’effet étant observé 5 à 6 semaines après l’injection. L’effet du traitement a été démontré jusqu’à six mois après injection (variable selon les patients).


MISES EN GARDE SPÉCIALES

  • Si à la suite du traitement vous commencez à avoir des difficultés à avaler, parler ou respirer, consultez immédiatement votre médecin
  • L’administration de doses trop rapprochées, ou trop élevées, peut se traduire par la formation d’anticorps dirigés contre la toxine botulinique, ce qui risque de conduire à une résistance au traitement qui pourrait limiter l’efficacité de la toxine botulinique de type A lors de traitements futurs dans d’autres indications thérapeutiques. Pour limiter ce risque, l’intervalle entre deux traitements ne doit pas être inférieur à trois mois
  • L’attention est attirée, notamment chez les conducteurs de véhicule et les utilisateurs de machines, sur les risques d’asthénie et de faiblesse musculaire liés à l’emploi de ce médicament pouvant rendre dangereuse la conduite de véhicules ou l’utilisation de machines
  • Très rarement une réaction anaphylactique peut survenir

Injection de toxine botulique Dr Allamagny Médecine esthétique Nancy Metz

La toxine botulique est également utilisée dans le BRUXISME et le dysfonctionnement de l'articulation temporo-mandibulaire.

Le bruxisme, c'est quoi ? Il s'agit d'une contraction le plus souvent involontaire et nocturne liée à un déséquilibre des muscles abaisseurs et des muscles éleveurs de la mandibule entraînant une altération des condyles (articulations temporo-mandibulaires).

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EFFETS INDÉSIRABLES

Comme tous les médicaments, la toxine botulique est susceptible d’avoir des effets indésirables. Ils s’observent en général dans les premiers jours suivants l’injection et sont transitoires. La plupart des effets indésirables rapportés sont de sévérité légère ou modérée. Une diffusion de la toxine botulinique aux muscles voisins est possible lorsque des doses importantes sont injectées.

Comme pour toute injection, une douleur/brûlure/piqûre, un œdème et/ou un hématome au point d’injection sont possibles.

Les effets indésirables les plus fréquents sont maux de tête, affaissement de la paupière (ptosis), douleurs au niveau du visage, rougeurs, faiblesse musculaire locale.

Les effets indésirables occasionnels et la plupart du temps réversibles sont sensation de peau qui tire, fourmillements, nausées, vertiges, contractions musculaires, inflammation de la paupière, douleurs au niveau de l’œil, syndrome grippal, œdème du visage, de la paupière ou autour de l’œil, fatigue, fièvre, sensibilité à la lumière, démangeaisons, peau sèche, trouble de la vision, anxiété, bouche sèche, infection.

CONSIGNES APRÈS INJECTION
Ne pas masser les points d'injection et ne pas se coucher dans les deux heures suivant l’injection.
Présentation
du Dr Éric Allamagny


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